Aujourd’hui, nous inaugurons notre premier format focus engagement de la série Partner in Vintage Crime. Isabelle de la friperie Izy 151 nous fais l’honneur de nous sensibiliser au veganisme on nous expliquant son combat pour la cause animale. Durant ces quelques minutes elle va nous parler de son déclic personnel, pourquoi soutenir la mode vegan et comment y faire ces premiers pas.

 

Izy 151 est une marque de pièces vintage et upcycling qui appartient aux époques entre les années 80 et 00. Tous les articles sont 100% vegan, donc sans aucune matière dérivée des animaux. « Nous aimons les animaux et nous ne voulons pas les porter ! » celui-ci le message que Isabelle veut passer à sa communauté.

Dans cette interview, nous avons donc voulu aborder qu’est-ce que signifie être vegan en 2021 et pourquoi il est primordial d’inclure le veganisme dans la mode.

1. Pour toi c’est quoi le veganisme ?

Pour comprendre ce que c’est le véganisme, il est nécessaire de regarder ce que sont le végétalisme et le végétarisme car ces termes sont assez souvent confondu. Le végétarisme et le végétalisme sont une mode d’alimentation pendant que le mécanisme est une mode de vie. Être végétarien signifie de ne pas manger de chair animale donc pas de viande ni de poisson. Être végétalien signifie de manger aucun produit d’origine animale donc pas de chair, ni de produits laitiers, ou 2 ou de miel.

Être vegan ça veut dire de ne pas exploiter les animaux tout court. Cela concerne l’alimentation mais aussi la mode, les cosmétiques, le divertissement comme le cirque ou aquarium. Le véganisme et liées à l’anti-spécisme. Le spécisme c’est une discrimination tout comme le racisme de sexisme. Cette discrimination est basée sur l’appartenance à une espèce. Quand on est vegan pour les animaux, on est aussi antispécistes. Aussi vegan ne veut pas forcément dire naturel. Un pull en polyester est vegan alors qu’un pull en laine qui considéré comme naturel ne l’est pas.

2. Pourquoi es-tu passée au veganisme ?

j’ai eu un moment de révélation compte d’une connaissance a posté une vidéo d’un abattoir bio sur Facebook, il ya quelques années. J’étais profondément choquée et j’avais commenté le post en disant : « si on ne peut même acheter de bio, mais qu’est-ce qu’on achète alors ? », elle m’a répondu que le mieux c’est de ne pas en acheter du tout. C’est là où j’ai appris que cette option existait et on m’avait toujours incrusté dans la tête qu’il était nécessaire de manger de la viande, du poisson, du lait, des œufs, du miel pour être en bonne santé.

Je vivais clairement en contradiction avec mes valeurs, j’ai donc arrêté le poisson et ensuite la viande. Au total, cette transition a duré environ six mois, j’étais donc végétalienne mais je portais encore du cuir et de la laine et de la soie. Une fois que mon alimentation était végétalisée, j’ai commencé à attaquer les autres secteurs de ma vie, notamment mon dressing et ma maison. La réalité des animaux qui bien cachés par les lobbys de l’élevage m’a tellement révoltée que j’ai commencé à m’engager activement et à participer à des manifestations avec plusieurs associations vegan à Paris.

3. Quels sont les préjugés liés aux personnes vegan ?

Depuis que je suis vegan, je mange beaucoup plus d’aliments qu’avant et j’en découvre des nouveaux régulièrement. Le nombre de fruits et légumes légumineuses et illimité et nos assiettes sont donc très équilibrée au coloré. Les humains sont des omnivores, c’est à dire qu’ils sont capables de digérer la chair mais ils n’ont pas besoin pour vivre.

Beaucoup de gens pensent aussi que les vegans sont tristes, monotone et ennuyeux, mais c’est faux ! Dans la communauté vegan il ya de tout, des personnes de tous les âges, de tous les milieux sociaux et de tous les styles. Si vous connaissez mon univers Izy151, vous en avez la preuve on peut être vegan stylé et coloré.

4. Pourquoi soutenir une mode vegan ?

Il est très important de passer en mode vegan, les matières d’origine animale nécessite l’élevage des animaux. Au global, l’élevage est responsable de 63% de la déforestation amazonienne et 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. Elle nécessitent souvent des traitements avec des substances très nocives comme des métaux lourds, ce qui est néfaste pour la planète et les humains qui travaillent les matières. Elles entraînent en plus, une énorme souffrance chez les animaux.

En ce moment, il ya une tendance aux greenwashing des marques qu’ils appellent leur cuir « éthique » parce qu’il est passé par une tendre et végétales. Je vous rappelle que le cuir n’est jamais éthique car c’est la peau d’un animal abattu contre sa volonté. Il n’est jamais écologique non plus car il nécessite toujours l’élevage des animaux qui est un facteur principal pour le réchauffement climatique. Le simili cuir, donc le plastique, est beaucoup mois polluant que le cuir et nécessite jusqu’à 20 fois moins de ressources pour sa production.

5. Quelle est l’importance des filtres vegan sur CrushON ?

Il est très important que le filtre vegan sur CrushON sera utilisé correctement. Un client qui se soucis des animaux et voudra donc une pépite vegan, sera très frustré quand il voit un produit en matière animale est marquée comme vegan. En tant que vegans, on ne voit pas la matière mais on voit la souffrance qui derrière. Examinez bien tous les détails des vêtements et si vous avez un doute, ne le marquez pas comme vegan.

6. Comment définir si un vêtement est vegan ou non ?

La première chose à faire pour distinguer c’est une pièce et vegan c’est de regarder les tickets pour les matières. Mais attention, tout n’est pas écrit sur les étiquettes. Il faut toujours vérifier tous les détails sur le vêtement. Un vêtements qui semble vegan au premier regard ne l’est peut-être pas quand on regarde de plus près. Par exemple, les jeans ont souvent une étiquette derrière et parfois celle-ci est en cuir. Les chemises et parfois ont des boutons en nacre, un cardigan autrichien peut avoir des boutons en corne. Des bijoux peuvent contenir des coraux ou coquillages.

Quand il ya un petit col en plume, ceci n’est pas indiquée sur l’étiquette non plus, donc faut toujours vérifier. Quand il n’ya plus d’étiquettes, on doit s’y connaître un peu en matières. Il ya des matières qui sont plus facilement identifiables que d’autres. Par exemple le coton, le lin, la viscose, la soie pure, on arrivera à reconnaître, mais dire si un pull d’hiver contient de la laine ou est purement synthétique ça peut être très difficile. Dans le doute, on n’est même pas le label vegan dessus.

Comment soutiens-tu la cause animale ?

Chacun doit trouver sa propre façon de militer qui lui convient. Moi par exemple, je fais des actions de la rue mais c’est surtout mon projet Izy 151 avec lequel je milite. j’affiche partout que c’est vegan afin de normaliser le mot vegan et de l’associer à quelque chose de positif est sympa. Dans cet esprit, j’ai aussi lancé des collections de hauts colorés avec un message engagé comme anti-spécistes, seitan ce qui est d’ailleurs une alternative à la viande un peu comme le tofu, donc quelque chose un peu rigolo. Ou encore la dernière collection vegan babe, afin de diffuser le message à maximum.

Chaque contribution à la lutte pour les animaux a sa place et est précieuse. Il n’est pas une façon de militer qui est mieux que l’autre, ce qui est certain, c’est qu’il est urgent pour chacun d’entre nous d’agir car les animaux vivent l’enfer et l’élevage détruit la planète à grands pas. N’attendez pas les politiciens car les lobbys d’élevage sont trop fortes, c’est à nous d’agir !

Conclusion

Merci à Izy 151 pour ce temoignage. Nous sommes fiers d’avoir lancé ce premier épisode avec elle et d’avoir des super vendeurs partenaires qui nous aident dans la révolution de la mode à travers la démocratisation du vintage. N’hesitez pas à la suivre sur son compte Instagram, sur lequel elle donne davantage des conseils pour ce mettre au véganisme.

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